2 commentaires sur “Lafon et Laffont

  1. Les notes sont une calamité. Comment faire ? Tout un pan énorme de la littérature nous échappe, lorsque les notes ne sont pas accessibles (Kobo : cliquer sur la note ouvre le dictionnaire, ou affiche la page voisine, ou vous propose d’annoter etc., mais jamais – JAMAIS ne conduit au texte de la note)…

    Imaginez Bayle, sa « France toute catholique » ou ses « Considérations sur la comète », sans les notes : mais, mes pauvres camarades, on perd d’un coup la moitié de Bayle, tant ce monsieur bavardait dans ses infrapaginales. Et Bonaventure des Périers, dont j’encode en ce moment ses « Recreations et joyeux deviz » sur une édition annotée de 1872. Ce coquin-là nécessite, pour être intelligible, un solide appareillage de notes : que faire sans elles ? Rien, on ne fait rien, et je laisse tomber.

    Ou alors on colle la note dans un pavé sous le paragraphe où elle est nécessaire ? Le texte sera haché. Y a-t-il une solution ?

  2. Il existe des alternative heureusement, ce n’est que contourner le mauvaise gestion du clic par les eReaders (certaines étant mieux pensés que d’autres…). Sans notes de bas de page, ce livre est un peu flou pour les jeunes sans un très bonne culture geek.

    Tu peux faire que lien vers la note de bas de page soit plus grand : [1] (en exposant ou pas)
    Tu peux mettre l’hyperlien dans le mot lui même comme on peut le voir dans « La Roue du Temps » ou le fameux livre qui m’a occupé avec 4000 entrées d’index. Ce n’est pas parfait sur tous les eReaders, mais point dérangeant pour la lecture si c’est bien fait.

    Sinon tu peux toujours taper les fabricants d’eReader jusqu’à correction de ce problème 😉

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